jeudi
13 mai |
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Vers
4 h 50 (hf) ou 11 h 50 (hj) j'ouvre un œil. Malgré le bruit des
réacteurs j'ai assez bien dormi. Comme il fait très chaud je me
suis mise à tousser. Toujours les reste de cette coqueluche attrapée
il y a quelques mois et qui ne veut pas me quitter. Le service est
à 'minima' heureusement l'hôtesse m'a distribué une petite bouteille
d'eau car avec cette maudite toux je bois beaucoup.
A 14 h 15 nous atterrissons en douceur à Narita.
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Le
passage à l'immigration est long, près d'une demi-heure, pourtant
l'organisation est parfaite comme toujours. Dans les lacets de la
file je retrouve de temps à autre ma copine qui me dit 'N'allez
pas trop loin'. Malgré tout je suis pressée moi.
Je commence par une belle frayeur au stand ABC car
je ne retrouve pas ma carte bleue dans mon sac. En un éclair je me
dis que je l'ai laissée à Paris. L'horreur. Que vais-je devenir ?
Heureusement au 3e vidage de sac je la retrouve bien rangée dans la
bonne poche. Avec mon téléphone portable en poche je me dirige vers
le guichet de la Limousine Bus, comme j'ai acheté mes billets en France
je n'ai qu'à faire l'échange et attendre le bus de 15 h 25 quai 17. |
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Il
ne fait pas très chaud. Le ciel est un peu couvert. A l'arrêt du bus
je retrouve ma 'voyageuse' et son fils. Elle va me raconter sa vie
durant le voyage : Son fils étudie au Japon où elle le retrouve pour
la 1re fois mais elle a fait le tour du monde. A 65 ans elle veut
en profiter car elle a perdu une de ses filles d'une tumeur au cerveau
à l'âge de 40 ans alors elle veut vivre malgré cette tragédie. Nous
nous quittons devant le Metropolitan Hôtel et chacune part vers son
hôtel. |
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Direction
le Kimi Ryokan (chambre 306). Je téléphone à Tanja
pour la rassurer. 'Je suis bien arrivée'. Une fois installée je
pars m'acheter une montre que je mettrai à l'heure française à Harajuku.
C'est bien j'ai trouvé la même que l'an dernier mais en métal argenté
(hélas elle s'arrêtera un mois et demi après mon retour en France). |
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Puis
visite au LIKE an EDISON où je prends le Fool's
Mate et miracle dans les rayons de vieilleries je n'en crois pas
mes yeux le Zy N°50 que je n'avais pas pu commander à CD JAPAN car
sold out...
Entre chien et loup, je remonte la Takeshita dôri. Prête à tourner
de l’œil tellement j'ai faim je m'arrête au konbini de la rue pour
acheter un onigiri et une bouteille de Pocari Sweet. |
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Puis
je rentre à l'hôtel. Je remarque que le Maruya
n'existe plus à la place un self genre Starbucks mais japonais...
les konbinis sont toujours là par contre. Je m'y arrête pour mon
repas du soir et de demain matin. Demain je voyagerai avec un paquet
de soft salad ソフトサラダ", ça craque sous la dent.
J'adore ça.
Heureuse de cette belle journée j'ai très envie de dormir. A 21
h extinction des …. yeux. |
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