vendredi 28 décembre 2007 |
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Comme
une semaine plus tôt, notre voyage commence par une rame de JR bondée.
Notre limousine bus étant à 8 h 25, nous quittons le ryokan vers
8 h, car nous sommes à deux stations seulement. Levées depuis une
heure, nous en avons profité pour regarder une dernière fois la
télé et nous apprenons la mort de Benazir Bhutto.
Les deux stations qui nous séparent de Shinagawa me paraissent interminables,
car le salaryman, comme le banlieusard, se fout totalement des valises.
Ouf ! Enfin arrivées. Il fait un peu frais, le ciel est couvert.
Ayant oublié d'acheter du café, hier soir au combini, je me dis
qu'un "petit noir bien serré" serait le bienvenu. Je m'arrête
donc en prendre un dans un café à la sortie de Shinagawa. Hum, il
est délicieux. Ah ! Comme j'aime : fort sans être amer. Un délice.
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En
avance, nous attendons dans le Prince Hôtel, la limousine bus qui
arrive pile à 8 h 25. Il n'y a presque personne. Après avoir fait
la tournée des hôtes chic de la capitale nous prenons la route vers
Narita, Terminus 2. Moi, qui attendais de repasser devant l'immeuble
de la Fuji Tv pour prendre une photo, je suis faite, car nous empruntons
un autre chemin "à cause du trafic trop dense" comme le
dit le conducteur. Nous passons donc par Ginza.
C'est un quartier de Tokyo que je ne connais pas du tout, cela tombe
bien. En cours de trajet nous croisons un théâtre de kabuki. Tiens,
un jour, j'irai bien voir un spectacle de Kabuki. |
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À
10 h 40 nous arrivons à Narita Airport. Je passe d'abord au stand
ABC pour rendre mon téléphone et payer la note, qui cette fois-ci,
est ridicule car je n'ai téléphoné que deux fois 2 min. Nous faisons
enregistrer notre valise : 19, 2 kg. Ah ! Oui, quand même !
Puis nous passons dans le terminal pour faire quelques emplettes,
dont le porte-monnaie que j'attendais, un Hello Kitty,
et manger quelque chose. Mais le choix est difficile, et Tanja n'est
pas encore de bonne humeur, ce qui fait que cela me pompe et que
je fais moi aussi à mon autour ma mauvaise tête. Faute de restaurant,
je me retrouve donc à boire un Coca, au McDo du coin. Ah ! C'est
vraiment difficile de voyager à deux. Je croyais que cela allait
être plus facile, je m'en faisais même une fête, mais hélas, la
réalité n'a pas été à la hauteur. De ma faute, peut-être. Bon, c'est
pas grave.
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Nous
passons à la douane, et à la fouille, et cette fois, c'est mon
sac qui pousse problème et il passe au détecteur, ensuite nous
regagnons notre satellite. Dans un combini j'achète à manger :
un pain de mie de Hokkaido, et une bouteille d'eau japonaise,
et, à 12 h 30 nous commençons à embarquer dans un Boeing.
Le
voyage fut très, très, très long. Déjà pas de film. Rien que dalle
! Donc il faut s'occuper, y'a bien la bouffe, mais c'est dégueulasse
!!! Alors, j'écris la troisième version de mon live report sur
LUNA SEA, la dernière. J'écoute LUNA SEA sur mon MD. Ah ! Magique
!!!Nous arrivons enfin à Moscou à peu près à l'heure prévue. En
transit, nous ne sommes pas fouillées, sauf nos bagages, puis
interminablement nous attendons. Les Russes, et les Français présents,
il est 18 h 30 pour eux, bavardent, bavardent. Nous nous commençons
à avoir envie de dormir. Il est 2 h du mat'.
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Enfin
nous remontons dans l'avion, un Airbus tout neuf. Pour un vol direct,
en fait, nous changeons d'avion. Aeroflot, c'est vraiment très particulier.
Les voyageurs qui viennent comme nous du vol de Tokyo passeront
les 4 heures de vol à dormir. Je n'ai même pas ouvert un œil quand
le steward mignon a proposé sa bouffe à l'odeur écœurante. A l'atterrissage,
alors que nous y avions échappé, lors de notre voyage de départ,
les Russes applaudissent.!! ?! |
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Nous
débarquons dans un satellite de Roissy. Après être
passé la douane où un seul préposé était de service, donc l'attente
fut longue. Les Russes comme de coutume chez eux essaient de passer
devant, c'est fatiguant. Quels rustres !! L'attente aux bagages
est assez longue mais finalement, notre valise arrive et nous prenons
un train pour retrouver un satellite flambant neuf. ! Il est vraiment
très beau ! Tout de suite nous sautons dans un taxi qui nous emmène,
pour la modique somme de 80 €, tout de même, à la maison. Nous arrivons
enfin à 23 h, un quart d'heure plus tard mortes de fatigue nous
nous écroulons dans nos lits.
A bientôt Tokyo !! |
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