dimanche 25 mars 2018 |
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Ma nuit fut encore écourtée par la lumière du jour et comme hier
je suis réveillée à 6 h. A la porte de ma chambre j'ai accroché
le panonceau "do not disturb" ainsi la femme de ménage
ne viendra pas me déranger. Par contre je m'énerve sur mon ordinateur
et ses mises à jour qui durent des plombes, je trantole durant la
matinée. A l'extérieur il fait beau encore aujourd'hui avec 20°
au plus haut de la journée.
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Tout
de même je finis par sortir pour réserver ma place de shinkansen
à la gare de Kyoto en vue de mon retour à Tokyo.
Il y a peu de monde au guichet je passe donc très vite. L'employé
ne comprend pas trop ce que je lui dis donc je lui montre mon carnet
de route. C'est ok demain. Je prendrai le Shinkansen de 9 h 58.
Un peu plus tôt que je l'aurai voulu mais ça me va quand même, le
shinkansen suivant de toute façon est complet.
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N'ayant
pas grand chose à faire je décide de visiter la gare de Kyoto qui
est gigantesque. La gare telle que nous la connaissons maintenant
a été inaugurée en 1997 pour commémorer le 1200e anniversaire de
la création de la ville qui portait le nom de Heian Kyô, ancienne
capitale du Japon. C'est l'une des plus importantes gare du Japon
avec son centre commercial, ses hôtels, ses restaurants et propose
une vue sur la ville. |
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A
mon sens, le plus impressionnant de cette gare est son plafond
qui ressemble à une vraie cathédrale. L'architecte Hiroshi HARA
celui là même qui est l'auteur du Umeda Sky Building à Osaka a
imaginé ce plafond en inspirant des ruelles de la vieille ville.
Cela
étant dit, je prends les gigantesques escalators jusqu'au sommet,
tout en songeant qu'ils n'ont pas intérêt à tomber en panne car
je serais incapable de monter ça à pied. Je me trouve alors sur
une plate-forme où l'on surplombe la ville. La tour, les rues,
la tour de Kyoto, c'est très impressionnant
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Puis
je redescends et continue mon exploration de la gare car jusqu'à
présent je n'ai fait que de la traverser en me pressant. Sur le
côté gauche de l'entrée il est organisé une exposition d'objets
artisanaux dans le cadre de la journée de l'industrie traditionnelle
ou "伝統産業 の日".
Dans les nombreuses vitres sont exposées des vases, des kimono,
des panneaux, diverses bouteilles d'alcool. Je suis quasi seule
dans l'exposition ce qui est plutôt agréable dans une gare très
agitée. |
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Ensuite
je déambule dans les magasins à la recherche de "je ne sais
quoi" mais je cherche bien. Au final j'ai tout de même acheter
deux porte-clefs.
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Le
deuxième concert de LUNA SEA commençant à 16 h
l'entrée dans la salle se fait à 15 h soit une heure plus tôt qu'hier,
un peu avant 14 h je pars donc pour Osaka. Cette fois je suis bien
décidée à ne pas me tromper et à bien enregistrer comment sortir
du Festival Hall ce soir. Je prends le shinkansen puis le métro.
Ah ! le changement à Honmachi est interminable, je me demande si
ce n'est pas plus court en extérieur. Heureusement que finalement
je suis partie plutôt que je ne l'avais prévu car j'arrive juste
pour entrer dans la salle. Avant ça je regarde bien et mémorise
comment je devrai sortir ce soir et où me diriger.
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Cet
après-midi ma place est au 3e étage porte L 10 ou R 10, magnifique
je suis pile poil au milieu. C'est génial. Certes je ne verrai pas
la couleur des yeux des membres de LUNA SEA, ni la couleur de leurs
chaussettes mais je verrai la totalité du show.
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À
18 h30 le public sort. Je suis enchantée par le
concert même si la set-list n'était pas dans mes préférées. Mais
je crois qu'on ne fera jamais mieux que celle du "One
Night Déjàvu" de décembre 2007.
En revanche, pas de problème j'ai bien visualisé où je devais passer
pour récupérer le métro. Mais je remarque aussi qu'à ma décharge
il n'y a aucune indication car l'accès se fait dans une galerie
marchande et il faut descendre deux escalators pour retrouver le
métro.
Je me dépêche de rentrer car je
vais tenter de téléphoner à la famille mais finalement je n'y
suis pas parvenue. Internet suffira.
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Je
me dépêche de rentrer car je vais tenter de téléphoner à la famille
mais finalement je n'y suis pas parvenue. Internet suffira.
J'écris mon live report et prépare mes bagages, j'ai hâte de retrouver
la prise téléphone car il ne reste que 18 % de la batterie. Quelle
histoire mon téléphone !! je crois que je ne comprendrai jamais.
Y'a un truc à Kyoto contre moi, en 2016 c'était internet, cette
année le téléphone.
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