Voici
donc le premier single de la nouvelle maison de production
de J, Blowgrow, appartenant au groupe Avex, maison de disques
japonaise, qui a dans ses écuries des artistes de
tendance musicale variée, puisque ça va d'Ayumi
Hamasaki à Kirito, entre autres. Ce single se décline
en deux versions : la version avec DVD (avec le clip de
break), et la version uniquement CD.
Revenons
à notre bassiste, que pourrais-je dire encore de
ce single, sinon que les deux chansons break
et from the Underground
Garden sont deux chansons très
cousines.
Il
décline, pour deux morceaux, le même "mot
clef" (keyword en anglais) "break",
détruire. Il a déclaré dans une interview
que c'était tout à fait par hasard, puisqu'il
avait écrit la face B pendant sa tournée de
printemps, et break, durant celle d'été.
J'ajouterais,moi, qu'heureusement, qu'il n'est pas français
on pourrait dire qu'il est, en ces temps de rébellion
des cités, subversif
Musicalement,
si vous aimez le rock/punk ce single est
fait pour vous. Il n'y a rien à dire excepté
que c'est une nouvelle fois du bon travail. Tout est parfait,
musiques, paroles, arrangements, chant, instruments.
Ce
sont ses musiciens de scène qui ont enregistrés
la bande son et donc, Scott Garrett, toujours aussi efficace,
est à la batterie ; MASA, le nouveau guitariste,
punk, de J qui est la guitare, ainsi que Fujita, ce qui
nous faut encore deux solos de guitare, comme il sait si
bien les faire. J lui-même s'est mis à la guitare
en plus de basse, mais comme il le dit lui-même il
est assez limité.
Côté
empaquetage, la jaquette est sobre. Moi, j'ai "J"
de dos… pas mal, le poster, super sur mon
mur…. Puis, c'est à nouveau Mikako Ohara qui
habille J, si, si, des fois il s'habille…. Elle n'a
pas toujours bon goût mais pour cette séance
photo c'est plutôt réussi.
Pour
en revenir au clip pas grand chose à
en dire, efficace. Les quatre membres du groupe, tels des
gros méchants rockers, à la mine patibulaire,
arrivent à grands pas dans un parking où ils
s'installent pour jouer, dans une atmosphère verdâtre.Les
scènes, où le groupe joue, sont coupées
par un J allongé face contre sol, couvert de sang
parfois. Bouh !!!! qu'ils sont vilains.
Pour
terminer donc, je dirais qu'une nouvelle fois, que j'écouterai
ce CD en boucle, en me trémoussant, m'imaginant dans
un live house surchauffé, dans la moiteur tropicale
d'un été japonais. |