J's P.V.(promotion video)

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here we go (2012) Ma'J le 3/3/2012 (photo tirée du clip Avex/cutting Edge/14fourteen Ldt)

Nous voilà !!! Here we go !!! hé oui, voilà donc J et son groupe sans nom Gotchin, Scott et Fujita, unis dans ce clip dernier du nom. Bien que assez traditionnel dans sa conception, le clip est plutôt agréable à regarder. Divisé en plusieurs scènes, J dans un couloir, J devant des grafitti. Tantôt rouge, tantôt bleu... voilà pour les décors.

La musique, hé bien, rien n'a vraiment changé dans les horizons musicaux de J 'le rocker'. Un bon rock bien en rythme, bien en voix... « nous sommes remplis de lumière » dit-il oui, , c'est bien le cas, c'en est presque joyeux.

Bien photographié aussi, J a l'air d'avoir 18 ans, je vous rassure tout de suite dans la « vraie » vie, il n'a plus 18 ans... mais bon ce n'est pas le propos... un brin pop quand même dans les vocalises, ce qui m'avait bien semblé en concert.

C'est du bon J.... sans trop de surprise pourtant, ah là, là, il n'est pas encore venu le temps pour moi de dire "je n'aime pas", rien d'autre à dire pour le moment donc j'attends avec impatience l'album dans son entier.

Allez une note pour ce clip 13/20

BURN OUT (2011) Ma'J 25/01/2011 (photo tirées du clip/ Avex/ 14Fourteen co.Ldt)

Pour sa 14e année de solo (selon une comptabilité un peu particulière) J offre donc à son public une nouvelle version de BURN OUT, premier single du bassiste et premier clip également, sorti en 1997 (voir plus bas de cette rubrique) . A l'époque, J était blond aux cheveux longs et avait été filmé aux États-Unis, hé en 2010, il est brun mais a tourné à L.A. aussi.

Le clip est entrecoupé de scènes extérieures de Los Angeles de jour, de nuit, en voiture, en hélicoptère, avec l'imagerie traditionnelle de J : vitesse, voiture, ville, mais aussi le feu du briquet, sa collection de basses, et d'un J très sexy jouant de son instrument d'une manière très subjective. J'ai peut-être l'esprit mal placé, enfin placé en dessous de la ceinture, mais certaines façons de tenir le manche de sa basse, ou de jouer de ses doigts au ralenti sur les quatre cordes de son instrument vont faire chavirer plus d'une demoiselle.ette promotion video (PV en japonais) ne va pas révolutionner le monde c'est certain mais je le trouve plutôt réussi, plus en tout que le premier, que je n'ai pas spécialement apprécié, en son temps. Et puis je crois que c'est le seul clip de toute la carrière de J où il apparaît seul.

Côté musique, la version 2011 de BURN OUT est elle aussi de qualité. Le morceau n'a rien perdu de sa vigueur, les sons plus lourds s'harmonisant plus avec la voix profonde de J.

note 7/10 (réalisateur : Daishin)

VIDA ROSA (2009) Ma'J 31/12/09 (©photos tirées du clip/ 14Fourteen co.Ldt/CutingEdge)

Un coup sur deux, c'est réglé comme du papier à musique (hi, hi, trop drôle ^^), J choisit de nous montrer le groupe jouant. Je n'ai donc rien à dire, rien à raconter, que, comme d'habitude Scott n'a pas participé au tournage, et que c'est donc un autre barbu qui a pris sa place.

En général, quelques effets de caméras ou le traitement des images donnent de l'originalité à la PV. Cette fois-ci ce sont les contre-plans très conceptuels de Daishin, le réalisateur. Les couleurs font que ce clip ne ressemble pas complètement aux autres et le groupe a joué en son direct en non pas fait semblant.
Moi, je ne suis pas très amateur de ce type de clip. A vous de vous faire votre idée mais malgré tout la musique est vraiment géniale.
ma note 5/10

Salvage (2009) Ma'J 20/09/2009 (©photos tirées du clip/ 14FOURTEEN co.Ldt/Blowgrow)

SALVAGE ou la pelle mystérieuse

Dans la version limitée de sa dernière chanson phare de son mini-album J nous présente la promotion video, ou clip promotionnel de SALVAGE.
Pour la petite histoire, la partie extérieure du clip a été tournée sur l'immense plage de Nakatajima sakyô dans les environs de Shizuoka.
La partie intérieure a été enregistrée en studio, le contraire aurait été étonnant et divisée en deux parties. L'une avec le groupe composé de REIJI (Dustbox) à la batterie remplaçant Scott GARRETT qui n'a pu se libérer pour le tournage, de Kazunori MIZOGUCHI, le nouveau guitariste, de FUJITA Takeshi, le fidèle, et, évidemment de J, et une seconde scène où J chante seul.
Revenons au tournage qui a eu lieu à la fin du mois de juin. Vers 6 h du matin, J a rejoint l'équipe technique qui a déjà commencé son travail. Mr. Thomas WALKER, est train de tourner ses scènes. Il joue le rôle d'un vieil homme traînant un boulet de bagnard attaché à son pied, dans le sable, sous une chaleur accablante.

Le clip commence par un plan sur les pieds d'un homme, en boots, marchant sur une dune de sable où quelques herbes poussent ça et là. La narration oscille tout le long du clip entre les plans entre extérieur et les plans intérieur.
L'homme enlève ses boots, les tient à la main. Et se retrouve avec une pelle à creuser un trou. Mais au fait, comment dans un désert a t-il trouvé une pelle ??? Oh , là, là, tu chipotes, Ma'J !!!!!
Puis l'homme jeune s'écroule dans le sable (sans sa pelle).. Mais où elle ??? .. Le vieil homme creuse lui-aussi. Il a chaud, transpire, et s'écroule lui aussi dans le sable (sans sa pelle) dans la même position que l'homme jeune. Plan serré sur la bras des deux hommes portant un tatouage, plus précisément un manji (svastika).

Qui sont ces deux hommes ? Vivent-ils dans le même espace temps ? Sont-ils la même personne ? Sont-ils le père, le fils ? La fin de nous le dira pas. A chacun de se raconter sa propre histoire.

La partie extérieure est dans la même lignée que la séance photo de Get ready, déjà dans le sable de cette même plage, la partie intérieure n'a rien de passionnante. On a vu ce genre d'images des milliers de fois, tout comme, d'ailleurs, le plan où J chante seul.

Le plus c'est le « making of » court mais sympa suivie d'une mini-interview où J parle de quelques anecdotes de tournage, comme "c'est pas  facile de tourner avec le sable et le vent qui souffle », surtout quand on est citadin, aurais-je envie de dire.

Bref, malgré ce manque d'originalité, j'ai passé un bon moment en compagnie de J aux sons d'une musique rock comme j'aime tant.

note : 6/10

Reckless (2008) (©photo F.C.Pyro.)
Vu, déjà, sur le net, depuis un bon moment, le clip de RECKLESS ne révolutionnera pas le monde de la vidéo, disons le nettement. Il n’y a aucune surprise particulière. Ce clip est celui d’un rocker, basique, voilà tout.
Le tournage de cette PV eut lieu au début du mois de décembre de l’année dernière et fut très éprouvant pour J qui préparait ses concerts (et en solo et avec LUNA SEA), tout en commençant la pré-production de son futur album, et peaufinant son nouveau livre consacré à ses 10 ans de carrière en tant que musicien solitaire.
RECKLESS est tourné dans un décor en peau de crocodile ou de lézard, un clin d’œil à Twisted Dreams, peut-être ? J, en veste de cuir rouge, et ses musiciens s’agitent comme de beaux diables. Les images sont montées comme des flashes dans un flou «artistique» dans les couleurs dominantes « rouges » et « jaunes ». S’il y a quelques gros plans rapides des musiciens dont un J hurlant. Ce clip comme je le disais plus haut ne laissera pas un grand souvenir dans nos mémoires. Mais comme je suis positive j’attends le prochain avec impatience.
Note : 6/10
Walk along (2007 )
walk along, dernière ballade de J, dont il vient de sortir la version orchestrale sous le titre de walk along ~infinite mix, a fait l'objet d'une "video promotion" qui figure sur la version limitée de son dernier single.
Dès la première image, nous sommes dans une ambiance nostalgique : une immense plage, la mer qui roule doucement, le bruit des vagues mourant sur le sable. Les scènes sont filmées en "nuit américaine".
Filmé de profil (le droit) tout le long du clip, J tire sa basse. Pauvre bassiste abandonné de tous, tirant le poids de sa tristesse. La basse glisse sur le sable. Parfois, il croise des lucioles accrochées harmonieusement sur un arbre mort qu'une ancienne tempête a dû faire échoué, là.
Dans le ciel, un aigle tournoie prêt à s'abattre sur sa proie, mais notre bassiste abandonné, nostalgique, continue son chemin. A la fin du chanson, il regarde vers le ciel, est-ce une prière ? Implore-t'il les cieux ? Il repart toujours...
Ce film dont le réalisateur est Toshihiro IMAI est aux antipodes de TWISTER, qui nous faisait pénétrer dans le monde du rock avec tous ses clichés, là, il s'agit de la tristesse, la peine, de la solitude. Quel est, en effet, ce poids que J tire derrière lui, tel le bagnard tire son boulet ??? (note 7/10)
twister (2007) (©photo F.C.Pyro.)
La Promotion Video de TWISTER, single à sortir le 07 février, a été tournée, en décembre 2006, alors que J enregistrait toujours son futur dernier album. Ce qui explique qu'il était très fatigué. A tel point qu'il dormait entre les prises. Pour la première fois, c'est un certain M. TAKEUCHI qui l'a mis en scène.
Le clip ne raconte pas vraiment d'histoire, et comme J l'a expliqué lorsqu'on lui parlait de ce clip assez sexy, il a simplement précisé que le réalisateur et lui n'avaient pas voulu qu'il soit sexy mais qu'il représente les émotions que l'on a en écoutant du rock. J'en conclus donc que ça donne donc envie de faire l'amour en se tripotant dans les coins sombres… mais ce n'est pas déplaisant du tout....
Le clip commence sur une jeune fille assise dans un sofa rouge, puis de notre ami J qui chante sa chanson entouré de ses musiciens
Le clip est monté en images très rapides, successivement passent des plans du groupe, des gros plans de J, un couple qui se tripote avec ardeur, une jeune fille assis sur son canapé, un iguane (enfin je crois), les musiciens du groupe. Scott Garrett étant absent du Japon, en tournée avec Beck, c'est Masuo ARIMATSU du groupe BACK DROP BOMB qui a pris sa place de batteur.
L'ambiance générale paraît pesante, peut être à cause des tons rouges couleur dominante de ce clip et aussi des éclairages feutrés jaunes, bleus. Rien n'est vraiment montré, juste suggéré. Pour ma part, je trouve que c'est un très bon scénario pour une très, très bonne chanson. (note 8/10)
Nowhere (2004)

Voici donc NOWHERE, tourné comme le précédent, par Kenji SONODA, qui n'a absolument rien en commun avec Go With The Devil.Pour celui-ci, Kenji SONODA, s'est bien amusé avec la technique.
Résumons, sur un plateau blanc, les 4 musiciens jouent tels ils sont sur scène, et le réalisateur s'amuse en nous donnant des images ombrées, floues, dédoublées, superposées, le tout dans des couleurs lavasses, brunes, grises, un soupçon de bleu pour le sweat shirt de J "XXL JESUS".
Cette video promotion a un brin de déjà vu (comme dirait LUNA SEA), heureusement il nous reste la musique de J, et cette superbe chanson, dont j'adore les paroles, pour une fois, c'est le vrai tournant de la carrière de J.

(note 6/10)

Go crazy (2003)

Le clip commence par Franz qui enlève sa cagoule (clin d'oeil au précédent clip alone) puis les musiciens qui sont ready interprètent cette chanson.
Sans grande originalité , il faut bien le dire, mais il nous permet de voir J, notre bassiste préféré s'époumonner devant des éoliennes, la chemise à fleurs volant dans la brise légère.... hmm.. c'est boooooooo
Seul Scott n'a pas participé au tournage car il était à ce moment là en tournée avec son groupe THE MISSION en Amérique du Sud.

(note 6/10

Go With the Devil (2002) (©photo F.C.Pyro.)
On peut classer les clips de J en deux catégories ceux qui racontent des histoires, et ceux qui ne racontent rien.
Go With The Devil entre dans la 1re catégorie, c'est même le plus intéressant de ceux qu'il aie tourné.
Sur une musique religieuse et en quelques plans, l'histoire se met en place. Dans la nef d'une église, vêtu de blanc, J gît dans un cercueil de la même couleur il est entouré de lis. Quelques personnes sont présentes, une femme en voilette noire, un homme, nerveux, amateur de whisky, un prêtre, (ressemblant plus à un moine bouddhiste d'ailleurs), et une petite fille, occidentale, qui lèche sa sucette ronde, rouge et blanche. Tous attendent
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enu de nulle part, J, vêtu de noir, s'avance dans l'allée centrale, la petite fille dit "go with the devil'. Vient donc la partie chantée du clip. Filmée de manière très rapide, montée d'une multitude d'images, elle donne une sensation de vitesse. Dans un décor ensanglanté, des dizaines de J (capuchon blanc tâché de sang) se battent derrière lui, meurent derrière lui, autour des trois autres musiciens
L
a petite fille sort de l'église. J, dans son cercueil, repose pour l'éternité, sa basse entre les bras. Là, j'avoue que je le trouve très beau, serein....
Ce clip, réalisé par Kenji SONODA, est à mon sens, le mieux conçu. L'histoire (même si l'on échappe pas à certains clichés), la technique, le thème bien en harmonie avec le thème développé dans la chanson, à savoir : la guerre et ses horreurs.
(note 9,5/10)
(remerciements à Loriane)
Feel your Blaze (2002) ©(photo F.C.Pyro.)

Le clip débute sur le visage de Scott Garrett faisant l'andouille devant la caméra, en arrière plan les autres membres du groupe.
L'action se situe dans un appartement, style occidental, au papier peint désuet. Les membres du groupe jouent, pendant que les objets : vase, glace, etc. peu à peu se renversent par terre.
Dans la seconde partie du clip, le décor est tagué. Il le fût par les membres du groupe d'ailleurs, dans la joie et la bonne humeur.
Les plans sont hachés, un brin flou, parfois.
Tout cela n'est pas très original.
Dans un numéro du F.C.Pyro, le tournage, qui a duré une journée, alors que dehors passait un typhon, a été raconté et il fut plus marrant que le clip

(note 6/10)

ALONE (2002)
Par une nuit sombre, J sort de sa voiture décapotable pour aller aux toilettes (si, si...) d'une boutique d'autoroute. Avant d'y parvenir, il croise sur son chemin des jeunes filles aux poses alanguies, un garçon qui vole un magazine, un mec qui colle son chewing-gum sous la table, un type qui pique de l'argent dans le tiroir-caisse.
Alors que pendant ce temps, sur un écran un groupe de rock joue : c'est J et des musiciens cagoulés. En fait, les musiciens attitrés de J n'étaient pas présents le jour du tournage, ceci- explique cela.
Puis, il rentre aux toilettes et là, ma scène culte à moi toute seule, J au moment où il crie "Hou", la glace se brise.
Enfin, il repart seul, dans sa décapotable, dans la nuit sombre.
Ce clip est parfaitement réalisé, de plus, il est assez original, ce qui est très rare dans l'univers musical japonais où l'on se contente le plus souvent de voir les musiciens s'agitaient devant leur micro (note 7/10)
BURN OUT (1997
Voici donc le clip BURN OUT le premier single de l'histoire de J solo qu'il tourna à Los Angeles avec une équipe américaine.
Ben ! Comment dire ! Il représente bien le concept de l'époque, un peu comme certains séances photos style "plus c'est flou, mieux c'est !".
Disons le tout net, ce clip est vraiment sans grand intérêt, tout du moins pour moi, car je ne sens pas qu'elle apporte quelque chose à cette chanson. Dans des couleurs, flashies rouges, vertes, bleues, J se démène sur sa chanson, accompagné de ses musiciens dans une sorte de souterrain/égout, où il passe des animaux dégueulasses, comme des cafards. J déteste les insectes…
Ah ! Si détail : J apparaît encore maquillé. On retrouve également sa dentition affreuse de l'époque et son bon gros cheveu sur la langue, qui fait partie de son charme. Si l'on s'aperçoit que les années passent, la musique, elle, reste, et comme elle est bonne, elle n'a pas pris une ride. (6/10
)
(remerciements à Loriane)